Ecriture Haïgwepa

Le départ d'Arcange.


Depuis maintenant plusieurs mois Arcange n'est plus là.

J'ai vainement tenté de découvrir aux seins des Omicidios, en alliance secrète avec Les Ecumeurs. Chez ces dernier Arcange avais beaucoup changé, il avais perdu la mémoire jusqu'à ne plus me reconnaître, ni moi ni ces amis de toujours. Il ne voyait plus que par le profit et la nuisance envers certaines personnes.
Il avais même pris une nouvelle compagne, ce qui lui valu de mordre la poussière plusieurs fois, mais avoué qu'il le méritais …
Enfin après de longues heures de discutions quelques fois houleuse il commençais peu à peu à ce souvenir de nous. Il quitta enfin cette naine dont il c'était amouraché, pour mon plus grand bonheur !
C'est à ce moment là que nous avons pu enfin nous retrouvé tous les deux, nous étions bien … nous étions seule. Seule dans le Temple que j'avais découvert plusieurs semaines au paravent, il n'y avais que nous et la nature. Personne pour nous inclure dans un quelconque conflit … Nous y sommes resté presque un moi, et un jour un courrier est arrive pour Arcange, c'était sa cousine, qui semblais très perturbée, lui demandant son aide et ses talent de forgeron. Après de longues heures de négociations je consentie à le laissé partir la rejoindre …
Il a donc pris le large pour la rejoindre en d'autres terres.
Il me fais parvenir régulièrement des nouvelles de lui … Il se porte bien même si il n'a guère le temps de faire autre chose que de forgé, il est avec sa cousine, … mais il me manque plus que tout ! Je suis allé le voir chez sa cousine, il l'aide en prévision de la grande guerre qui semble naissante chez eux.

Au cour d'une initiation chez les Omicidio j'ai revue Cassie qui étais à notre mariage et fus très déçue de me voir en si mauvaise compagnie. Nous avons parlé un long moment, elle ma même lancée un invitation pour rejoindre Les Grands. La Grande famille Naine, j'avais déjà eu envie de les rejoindre, je lui promis d'y réfléchir, même si ma décision était déjà prise. Mais avant je devais prévenir le chef des Omicidio, il comprit très vite et m'offrait même quelques petites choses pour m’encourager dans mes fouilles à venir. Il ne fut pas surpris étant donné que toute sa famille avait disparue, je croie qu'il erre dans les villes à la recherche d'une continuité pour lui …
J'ai revue Cassie dans les jours qui ont suivi notre discutions et comme promis elle m'invita dans sa Grande famille Les Grands.
Depuis j'ai repris ma quête pour devenir noble, je ne sais pas si c'est important mais cela m'occupe et me donne un but à atteindre. Je continue toujours mes fouilles, de distribué auras et soins à mes amis, mais depuis le départ d'Arcange j'ai aussi décidé de me prendre en main et de me défendre moi même et aussi d'apprendre la magie du feu.

Ce n’est plus Haïgwepa qui va vous conter la suite des événements, en effet elle ne supporte plus l’absence de son Nain Arcange. Cela fais bon nombre d’année que je m’occupe d’elle à son insu. Cette mission ma été confié par son amie Stratos dont elle ne se doute pas de son attention envers elle. Et il est temps pour moi d’intervenir contre son gré ! En effet elle veut mettre fin à son calvaire et à ses jours, je la comprends mieux que quiconque, mais cela est un autre sujet …
Je ne peu la laissé faire, elle ne mérite pas le sort qu’elle veut s'impose et heureusement je suis là !
Tout ce qui va suivre est de mon fait et grâce à moi elle va repartir sur de bonne base, enfin … je l’espère !

Désespéré par le départ d’Arcange pour aidé sa cousine ou il à sûrement perdue la vie puisqu’elle na plus aucune nouvelle de lui depuis déjà plusieurs mois, Haïgwepa décide d’en finir avec toutes ses souffrances, elle se rend donc sur le Port de Rune, là comme d’habitude un bateau est à quai. Et Haïgwepa monte dessus, le bateau est désert les hommes d’équipage doivent être en ville pour vidé quelques bières naine... Elle monte sur la balustrade la plus haute, au dessus des quartiers du capitaine. Elle cria si fort pour son aimé, Arcange. Mais personne ne lui répondais surtout pas son Nain. Si bien qu’elle cria plus fort encore, si fort que plus un mot ne parvins à sortir de sa bouche. Arcange ne reviens pas … Haïgwepa prise par le désespoir saute dans l’eau avec une telle violence qu’elle en perd connaissance sur l’instant et sombre jusqu’au fond de l’eau, son corps gisant au fond de la mer …

Haïgwepa est morte !


Mais la mort n’est qu’un passage vers un autre monde où l’esprit est maître et les jours heureux.

Haïgwepa n’a pas connu cet animal qu'on appel le phœnix, mais qu'importe moi je l’ai connu et son pouvoir je le connais, mais n'étant pas de la race de cet oiseau il me faut quelques préparatifs et ingrédients …
Je sort son corps presque encore chaud, et la fais monté dans mon chariot pour le mettre à l'abri des regards indiscret. La route est longue pour l’amener chez moi, mais son corps reste intact je ne sais comment d’ailleurs. Une fois arrivée chez moi je l’installe sur mon lit et me recueille un instant sur sa dépouille, puis part coupé du bois, mais pas n’importe lequel ! Il me faut du bois de l’arbre mère des Elfes. Heureusement quelques jeunes poussent de déjà quelques dizaines d’années sont là, je décide donc de coupé celle-ci pour ne pas abîmé l’arbre mère des Elfes. Je m’en vais aussi récolté les ingrédients nécessaires au rituel Je monte un bûché comme jamais je ne l’avais fais, il étais immense, mais ma petite Haïgwepa je mérite bien ! Je l’installe sur ce dernier, incante quelques prières chamaniques et allume le feu La mort dans l’âme.
Pendant la crémation je prépare le rituel et la mixture nécessaire. Une fois le brasier terminé plus rien ne subsiste.
Je m’agenouille près du tas de cendres et incante les quelques prières nécessaires puis verse la mixtures sur les cendres encore chaudes, et m’en retourne vers ma maison, il ne reste plus qu’à attendre…
*Le conteur pense en lui-même*
Ma petite Haïgwepa tu ne devras te souvenir de rien pour cette raison tu reprendras ton nom premier Niissa …
Après quelques heures Haïgwe … Niissa pardon ce relève de ses cendres, j’accours vers elle pour ne pas qu’elle tombe et se fasse mal, elle est encore très fragile. Je prends soin d’elle et peu à peu elle retrouve ses forces et je ne peux la convaincre de resté près de moi plus longuement, elle repart donc sur les routes en me promettant de revenir me voir.
Mais comme vous le savez je ne peu la laissé seule alors je continu ma mission et veille sur elle …

Au fil de mon périple moi Niissa, je fis la rencontre de Haiicate et de Terence, nous avons parcourus nombres de villes et villages nous avons appris à nous connaître et à nous appréciées. Terence est un marin, Haiicate est une fille de bonne famille, d’après ce que j’ai pu comprendre, avide d’aventure. Plus le temps passait et plus des visions d’un passé que je ne connais pas viennent à moi … il me faut en savoir plus !
Avec l’aide de Terence et Haiicate nous nous sommes rendu au port de Giran pour savoir si je pouvais obtenir plus d’informations. Tout ce que j’ai appris c’est qu’une Naine à débarqué il y a longtemps et qui se nommais Haïgwepa Lyssa et que physiquement elle me ressemblais énormément mais très vite d’autres évènements interrompes nos recherches sur mon passé.

Un complot contre ses amis marins étais en préparation et Terence ce mis en œuvre de construire un bateau afin de les rejoindre et de les prévenir.

Terence venais de finir les travaux de construction de l’embarcation. Une modeste gabare aux voilures non négligeables structurées par un artimon et d’un foc central robuste mais assez maniable.
Flanquée à l’arrière par une dunette de fortune, elle avait presque l’air d’une frégate digne de ce nom.
Mais le temps était compté, d’autant plus qu’il devenait urgent de retrouver les siens pour les avertir d’une future invasion de la garde royale maritime.
Aidé par une foule en admiration, et rejoint par Haiicate et moi pour un baptême en bonne et due forme du charmant navire, Terence sentait son cœur palpiter comme autrefois pendant les traversées interminables en compagnie de son oncle et de l’équipage.

Mise à l’eau, « l’épreuve » semblait déjà vouloir aller au bout du monde, en vacillant aisément sur les flots.
Tous les trois, s’affairaient à déplier les voiles sous les ordres quelques peu hésitants de Terence.
Très vite en pleine mer, et le navire n’avait pas bronché, c’était plus qu’un bon présage, qui ne tardait pas à s’évanouir quand je pointe du doigt l’horizon.
Un mur de nuages presque aussi noirs que l’ébène, venaient fondre tout droit sur le minuscule point que représentait « l’épreuve ». Quelques légères bourrasques de vent relevaient les voiles par à-coups, puis plus intensément, et enfin aussi farouchement qu’un oiseau s’abattant sur sa proie.
Tout s’accéléra en peu de temps, juste le temps pour Terence et ses compagnes de faire littéralement tomber les voiles sur le pont.
Mais il était déjà bien trop tard, pris dans une tempête aussi subite il ne restait peu d’espoir aux trois marins pour espérer faire des manœuvres concluantes et efficaces.
Se tenir fort aux cordages ou s’aplanir sur le pont.
Terence agrippa la main d’Haiicate aussi fort que possible pour la diriger à l’intérieur. Je les y attendait. Chaque pas en avant était une épreuve terrible.
Le navire disparaissait entre les vagues et la brume sombre, comme engloutit à jamais par les flots qui n’en finissaient pas de balader ses ressacs inlassablement. Secoué, balloté, il refaisait surface au sommet d’une vague un instant, puis replongeait dans l’immensité.
La mer, n’avait fait pourtant que les présentations, et allais offrir à ses prisonniers sont plus beau spectacle.
Au loin, se dessinait un obstacle d’une grandeur titanesque. Un mur d’eau façonné par le vent et les courants, se dressait fièrement et n’en finissait plus de grandir. Les trois marins pouvaient entendre l’assourdissant tumulte qu’il dégageait au fur et à mesure qu’il approchait. Ce n’était plus qu’une question de secondes……..
Secondes qui parurent une éternité pour les trois victimes, finalement résignés à offrir leur vie au monde des océans.
Serrés les uns contre les autres, Terence n’ayant pas lâché la main d’Haiicate semblais terrorisé au départ, relâchais ses traits crispés pour laisser place à un visage sans émotion.
Sa belle, venait de plonger la tête entre ses genoux voulais cacher ses cris ou ne pas voir le déluge approcher.
Je gardais les yeux grands ouverts, fixés au plafond, vides d’expression. Je me contentais de murmurer quelques phrases inaudibles, même pour moi.

De tout son poids, et de sa puissance, le « monstre » d'abatis sur le frêle bateau, le réduisant en miettes dans un vacarme aussi bref que destructeur. Les malheureuses planches volaient en éclats, tandis que le gréement fut arraché du pont, telle une brindille se détachant de sa branche.
Tout les trois sursautèrent au même instant, puis……. Plus rien.

Je me suis réveillé encore une fois trempé jusqu'à l'os, mais comme à mon gout je me met en quête de retrouvé les miens. Je retrouvais Haiicate en premier a l'Ile qui parle, j'étais folle de joie de la retrouvé saine et sauve ! Nous nous sommes mis très vite à la recherche de Terence.
Nous n'avons pas tardé à le retrouvé dans cette même ile et la joie en fus toute aussi grande d'autant plus pour Haiicate qui revoie l'amour de sa vie même si elle ne se l'avoue pas encore cela ce lis sur son visage …
J'ai toujours mes visions au fils de mes voyages dans les villes j'ai rencontré un artisan forgeron qui ma reconnu et donné un plie, de … de ma part !

Cette missive me disais de me rendre sur l'ile des fantaisie, accompagnée de Terence, Haiicate et de Tounga nous nous y sommes rendus.
Au moment ou mes pieds ont foulés la place principale des souvenir très agréables me sont revenus et je pris une direction que moi seule pouvais connaitre ... Nous sommes arrivés à un temple dès lors j'ai su que c'était « mon » temple, comment je le savais ça je ne puis le dire mais je le savais. Une chose attira mon œil plus que le reste, il s'agissait d'un bouton dissimulé dans une fresque. J'actionne ce bouton et Terence et moi faisons un bond en arrière surpris par le vacarme d'un tiroir qui fait son apparition. Un Grimoire ou un simple livre y étais entreposé, je le pris et commençais à le feuilleté ... il s'agissait d'un journal écris par cette Haïgwepa Lyssa !
Et plus je lisais et plus les souvenirs de ce que je lisais me revenais en tête je n'arrivais pas à le croire, ce que je lisais n'étais que ma simple vie, avant que je ne perde la mémoire tout y étais mon mariage avec Arcange mes mésaventures avec certains ... Il me fallait plus de temps pour découvrir tout ce qui étais dans ce journal ! Je pris congé de mes amis qui eux aussi voulais en savoir plus sur mon passé et me mis à lire goulument mon passé.

Depuis quelques jours j'ai des malaises, la tête qui tourne je ne sent plus mes jambes et finie par tombé par terre avec des crises de vomissement. Haiicate et Terence me conseillais d'aller voir un docteur ce que je fis par la suite même si au départ je n'en voyais pas l'importance.
Faute de trouvé un vrai docteur je fini par trouvé un Paladin du nom d'Aranir qui me dis sans perdre un instant que je ne devais plis porté mon armure dans mon état.
Mais quel état !? Je ne le savais pas avant mais j'étais en ceinte de six mois, une fille. Le père ne peu être qu'Arcange totalement disparu de puis lors. J'ai annoncé à mes amis que j'avais déjà choisi le prénom de ma fille Niissa, puisque mes parents avais décidé de me nommé ainsi je me devais de leur faire honneur alors ma petite fille tu t'appelleras Niissa !

Au cour d'un rituel avec Terence et Haiicate j'ai eue des visions, mais je ne saurais dire si il s'agit de mon passé, de mon présent ou de mon avenir … Arcange semblais s'amuse durant ma vision, j'entendais les voies d'autres femmes, aussi je ne pouvais croire qu'il me trompais. Je l'entendais éclaté de rire et là j'ai crié:
« -Ne te moque pas de moi Arcange !! * plus bas * Je porte ton enfant … * pleure * »

Mais Arcange ne semblais pas entendre le son de ma voix, j'entends un grognement puis … plus rien, j'entendis ensuite un combat puis le silence … Des vents tourbillonnais tout autour de nous durant ce rituel et il venais subitement de ce stoppé, comme arrêté par les rempart d'une bâtisse. Haiicate dis à ce moment :
« Les vents n'ont pas trouvé Liandar … »

J'étais tellement triste pour eux qu'il ne puissent retrouvé leur terre natale. Mon passé est tellement tumultueux que je ne peu dire ou est mon point de départ, avec mes parents, ou avec Stratos ma maitresse d'arme , ou alors … oui il ce pourrais bien que ce soit avec Arcange que tout à commencé pour moi rien n'avais d'importance avant lui … Il me manque tellement et plus encore sachant que je porte son enfant et qu'il n'est pas au courant !

Quel bonheur porté la vie en moi mais comment faire pour pouvoir aidé mes amis dans leur quête d'équipement et dans la mienne au passage ? Je décida d 'allé voir un Chamane Orc qui avais pour réputation de permettre la protection des enfants dans le ventre de leur mère guerrière. Je lui expliquais mon cas et de suite il me tendis un couvre chef pouvant protégé ma fille, ce chapeau me recouvrais d'une aura empêchant tout intrus de porté le moindre coup à ma fille ou à moi même si cela mettais en danger la vie de ma fille. Alors je repris la route sur de moi et confiante dans mon avenir même si je ne peu caché que le fais d'avoir un enfant me faisais peur et l'accouchement encore plus ! Mais Haiicate me promis de m'accompagne dans cette épreuve.

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